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La rupture conventionnelle : le bon et le mauvais

Quelques-uns voient la rupture conventionnelle comme une arnaque, d’autres applaudissent l’initiative de l’État de l’avoir mise en place. Les avis sont partagés concernant cette séparation dite à l’amiable entre employeur et employé. Voici alors les avantages et les inconvénients pour ceux qui hésitent encore entre rupture conventionnelle ou licenciement.

 

Quels bénéfices peut-on en tirer ?


Du point de vue relations sociales, il est plus facile de proposer une rupture conventionnelle à l’un des partis plutôt qu’un licenciement ou une démission surtout si le camp adverse ne s’y attendait pas ou avait d’autres projets.

 

Cela passe mieux sur le papier à l’égard du salarié qui ne verra pas son CV terni et qui bénéficiera même peut-être d’une recommandation de son ancien employeur. On s’entendant sur la date où l’agent quittera effectivement l’entreprise, l’un comme l’autre s’évite une séparation tendue et longue. En l’absence de préavis, il n’est nul besoin d’attendre 3 mois pour partir des lieux sans accord des deux.  

 

Du côté du travailleur, grâce à la rupture conventionnelle, celui-ci perçoit une indemnité et une allocation de chômage. Afin d’en savoir plus, n’hésitez pas à consulter la page https://www.rupture-conventionnelle.com

 

Rupture conventionnelle : les mauvais côtés

 

À moins de l’écrire en noir et blanc sur un document, l’employeur n’est pas à l’abri que l’agent ne se retourne contre lui plus tard. Certes, celui-ci peut refuser la rupture conventionnelle, mais comme il n’a pas vraiment le choix, il peut prétendre qu’on lui a forcé la main.

 

Qui dit absence de préavis dit aussi absence de rémunération. Cela fait déjà de l’argent en moins si la rupture conventionnelle a été initiée par l’employeur. En parlant de rémunération en moins, il est important de préciser que l’impôt sur le revenu est prélevé sur l’indemnité de départ aussi. Cette forme de séparation convient alors surtout aux salariés qui ont déjà un projet sur le feu et donc de quoi le financer en quittant la société.